G. Dylan
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Date d'inscription : 17/12/2011
Feuille de personnage
Nom : Gordon
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âge: 17 ans
 | Sujet: G. Dylan vous fait l'honneur de sa présance.  Sam 17 Déc - 23:56 | |
| «Chad Gordon»
• CARTE D’IDENTITÉ
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Pouvoir(s) : Qui sait précisément quel est son pouvoir ? Sachant que lui-même doute de la nature exacte de son pouvoir. La seule chose qu'il pourra vous dire c'est que certains éléments physiques tels que l'eau, la terre, le feu et bien d'autre ont manifesté une volonté propre quand Dylan est dans les parages. En fonction de cet élément, il est arrivé de pouvoir observer que les aptitudes de Dylan se modifient.
Arme(s) : Quelle est-elle réellement ? C'est une excellente question en effet, mais ce serai vachement moins drôle si vous savez précisément de ce dont vous devez vous méfier ... Alors ce petit point sera expliqué dans son histoire, tout simplement pour que les plus méritant, seulement, soient courant des aptitudes de Dylan.
Quel club voulez vous intégrés ? Dylan n'a pas la prétention d’adhérer à un club pour le moment.
• DESCRIPTION PHYSIQUE
Quel désespoir de devoir se décrire physiquement, déjà, j'estime ne pas être quelqu'un de très séduisant, ensuite je trouve ça vraiment déplacé de donner un avis sur son allure physique. J'estime être un Homme de taille moyenne et de morphologie maigre, je ne suis pas un grand mangeur, c'est une perte de temps de s'asseoir seul à une table pour manger quelque chose qui nous permettra de vivre plus longtemps dans se monde qui se résume que par sa solitude éclatante. J'ai les cheveux de couleur châtain ainsi que des yeux de couleur châtain clair. En ce qui concerne mes habitudes vestimentaires, c'est très simple, l'uniforme de l'école me conviens très bien après que j'y ai ajouté ma petite touche personnelle, blouson ouvert ce qui donne un aperçu sur ma chemise blanche et ma cravate bleu, tout les deux ouvert au niveau de mon cou, c'est plu agréable à porter comme ça.
• DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE
Je ne vois pas l'intérêt de me poser la question ? Qui suis-je, comment je pense ? je pourrai vous poser la question en retour je ne sais pas qui m'écoute, mais sachez une chose, je ne vous aime pas, je ne veux pas que vous m’approchiez, je refuse que vous vous attachiez à moi, et si il le faut je veux même bien vous arracher votre vie pour que mon désir de solitude sois respecté. Tout ces gens qui se regardent avec amour qui se rapproche les un des autres, ça me donne envie de gerber, l'amour c'est quoi ? La seule arme que les êtres humains pathétiques que nous sommes aient trouver pour justifier leurs besoins de sexe et pour s'éloigner de la solitude. Pourquoi personne n'aime la solitude ? C'est un bien, pouvoir prendre des décisions sans être tiraillé par les pressions extérieurs, c'est vraiment le pieds. Quand je me rappel qu'a un moment dans ma vie j'étais comme voue, je pensais que c'est important d’avoir des gens pour se confier et pour parler, ça me fait rire, enfin plutôt je me dégoûte, c'est vrai quoi, être seul c'est tellement plus simple. Pour faire simple, vous êtes moche, je ne vous aime pas, et par pitié ne m'appréciez pas, sinon croyez moi je vous le ferai payer ...
• HISTOIRE FAMILLE
Attention, le contenu de l'histoire pourra choqué ses lecteur sensibles. Pour votre bien je vous demanderai de ne pas lire si vous avez moins de 18 ans. Dans le cas contraire vous ne serez pas en droit de vous retourner contre moi ou même contre le Forum. Bonne lecture ;'D
Tic ...5 Tac ...4 Tic ... 3 Tac ... 2 Tic ...1 DRRRING.
Dieu, il était temps huit heures de cours aujourd'hui, c'est vraiment chiant même si monsieur de biologie à ce sourire éclatant, enivrant. Comme je l'avais en première heure je suis venu, et j'ai pas eu le courage de sécher les autres heures, et maintenant je me farci des Math avec ma prof qui dois au moins avoir 120 ans, je me suis longtemps demandé si ils ne la gardait pas comme prof dans l'espoir de pouvoir l'empailler et l'exposer dans le bureau du préfet, ça pourrait bien aller avec toutes les peintures ignobles qu'on pouvais y voir. Plein de portraits de sa famille. Comme je passe pratiquement tout mon temps à l'école convoqué dans son bureau car j'ai séché une heure si ou quitté l'école plutôt par là, j'ai eu l’immense honneur de pouvoir les observer de près et visiblement la même tare génétique retombe à chaque fois sur les hommes de cette famille, le gros pif et la calvitie sévère qui frappe chaque homme dès leurs 30 ans. Ils font vraiment peur, rien à voir avec monsieur Algar. Tout m'attirait chez lui, son sourire étincelante, l'amour avec lequel il parle de sa matière, sa musculature irréprochable, et surtout les clin d’œil qu'il me lançait, cette manière qu'il avait à se coller à moi lorsque je "trouvais pas" ce qu'il fallait observer dans le microscope. C'était toujours comme ça entre nous, tout le temps, malheureusement les 15 ans qui nous séparaient étaient immuable, autant je pouvais être un garçon de 14 ans très mature, je reste un enfant, et c'est pour cela qu'il n'aurai jamais du se permettre de faire ce qu'il m'a fait ...
- Dit moi Dylan, j'ai remarqué que tes notes sont en chutes libres, que se passe-t-il ?
Il me regardait toujours avec ces yeux prévenant, quand j'étais avec lui j'avais l'impression d'être une fleur qu'il voulais protéger à tout prix, je me sentais bien quant il s'intéressait à moi, malgré cette alliance qui pourrissais ses mains si douces.
- Heu, oui. Je suis vraiment désolé, c'est juste que j'avais deux trois truc à faire ce Weekend, et bah j'ai complètement oublié d'étudier, je suis désolé.
J'aimais particulièrement quand il faisais un aparté avec moi à la fin du cours, pendant ces quelques minutes, je n'avais à le partager avec personne. Souvent, je me dit que je ne devrai pas lui accorder tant d'importance, je n'ai pas le droit de l'aimer, et de toute manière il ne m'aimait surement pas, je n'étais qu'un jouet "consentant" je m'en était pas rendu compte tout de suite, mais à chaque fois qu'il me parlait ça tournais de la même manière.
- Hun, je vois, si c'est comme ça je vais te forcer à étudier, c'est dommage tu sais t'as du potentiel mais tu ne participe jamais aux autres cours.
Après avoir dit cela, il m'attrapa la main fermement, nous quittions la classe qu'il prenais toujours le soin de fermer à clef, ensuite on se rendait à sa voiture, ou il nous emmenais chez lui. La route était toujours longue, et mon cœur battait toujours à tout rompre quand il était là. Il le savait, il le savait très bien, et au quand bien même il était séduisant et gentil, il ne se gêna pas pour en profiter. Quel genre d'adulte serai-t-il pour refuser de donner ce qu'une personne qui lui offre son corps veux ... Comme je le disais, ça fonctionne toujours de la même manière, on arrive chez lui, ensuite on travaille pendant plus ou moins une demi-heure, et ensuite c'est le dérapage total. Sa compagne n’était pas là, il m’amenait dans leurs chambre. Et après avoir sensuellement retiré son pantalon, il me donnais des ordres, c'était simple, pour lui si je les suivais c'était de mon propre gré. D'un côté je n'avais pas réellement le choix ... Si je le refusais, probablement qu'il arrêterai d'être aussi attentionné envers moi et ça je ne le voulais pas, j'en avais marre d'être seul ...
Au fur et à mesure les choses changèrent malgré qu'il aimait toujours autant que je lui fasse des gâteries, c'était très simple à remarqué, déjà il avait le pantalon baissé qu'il avait déjà enfourné de lui même son sexe, déjà dur comme fer, dans ma bouche, mimant le mouvement que je devais faire, la délicatesse était vraiment de moins en moins mise en avant, au plus le temps passais au moins ces gâteries semblaient lui suffit, il voulu passer à la phase suivante, sans même m'en demander mon avis, et là j'ai compris qu'il ne faisais que se servir de moi.
Ce jours là comme les autres, il m'avait amené chez lui, sa femme chef d'une assez grande entreprise était en voyage d'affaires, le pauvre homme était probablement en manque de sexe, et c'est sur moi que c'est tombé. Déjà dans la voiture, il ne m'a pas adressé un seul regard, pas un seul sourire, la seule chose qu'il à faite, c'est attraper violemment le bras pour me sortir de la voiture, je le sentais agressif, je ne voulais pas rentrer chez lui. Une fois franchis la porte, il me poussa sur le lit, s'arrachant ses propres vêtements et les miens dans la foulée, j'ai voulu le repoussé, personne ne me croira vu tout ce que j'ai déjà fait, mais j'ai vraiment voulu qu'il s’éloigne, pourquoi n'avais-je pas simplement à le sucer comme d'habitude ? J'ai rapidement compris que ça ne lui suffisais plus, et que j'allais prendre cher.
- On sais tout les deux que tu ne veux que ça, putain, arrête de me pousser. Il parlait tout en se caressant le pénis et en l'approchant de ma bouche, résigné je l'ai comme d'habitude léché. Après cela, bizarrement il me laissa tranquille. La soirée c'était plutôt bien passée, on avait bien passée, jusqu'au moment ou il me propose un verre d'eau, et ou j'ai stupidement accepté. Une fois celui-ci ingéré, je me sentis moins dans mon assiette, mais lui ça n'avais pas l'aire de l'étonné, il me souleva et me re-jetta sur le lit.
- Tu gesticulera moins comme ça, ce sera plus simple pour moi, on sait tout les deux que tu vas aimer ça; laisse moi donc te le faire.
J'avais envie de crier, mais impossible, strictement impossible. J'étais dégoûté de la manière dont il me mettais dans la position qu'il voulais comme une marionnette, il a commencé par me mettre à quatre pattes, ensuite il pris son sexe et l'introduis en moi, ce sans m’avoir préparé, je peux vous certifier que la douleur était intense, mais je n'étais même pas en état de protesté. Il commença les vas et viens, et lentement la douleur se métamorphosa en plaisir, plaisir dont j'avais honte, bien que ce soit l'homme que j'aime, je n'avais pas à accepter d'être traité comme ça. Il continu à à jouer avec moi comme ça pendant des heures, continuant même au delà de ses capacités sexuelles en introduisant en moi des objets de toute sortes, j'avais mal, je me sentais souillé, et je me sentais seul. Incapable de crier incapable de me défendre, et la seule chose que j'avais envie de faire c'est de recommencer, j'ai éjaculer tellement de fois dans cette soirée, que je ne peux pas dire que je n'ai pas eu du plaisir, et ça il l'a bien compris, ainsi pendant la semaine de voyage de sa femme, pas une fois je suis repassé chez moi, ou plutôt pas une seule fois il m'a laissé sortir, à chaque fois j'étais attaché quand je me retrouvais dans la capacité de parler, mais j'avais trop honte pour appeler qui que ce soit à l'aide. Et le pire dans tout ça c'était quand même que mon désir de lui restais intacte, à chaque fois que je le voyais, je voulais qu'il recommence, aussi dégoûtant soit-il de vous l'avouer ...
- T'es une vrai Salope Dylan, ne serait-ce que le fait que j'entre dans la pièce et tu bande déjà comme un porc, je suis désolé mais je vais te donner ce que tu veux, ton trous à l'aire déjà près à ce que je m'offre à lui, ça va être encore meilleur qu'hier, n'en doute pas.
J'étais dégoûté, mais il avait raison, c'était bon. Au fur et à mesure il me droguerais moins jusqu’à accepter de ne pas me droguer surtout si j'étais docile. Il m’aimait, je voulais qu'il m'aime, mais jamais il ne m'aima, j'étais que son jouet, et je le savais au fond de moi. De toute manière j'étais piégé, j'étais seul, personne n'étais près à entendre ce qu'il me faisais, et j'avais une telle envie de lui ... Quelque chose d'étrange attira tout de même mon attention, à chaque fois qu'il me touchait, le ciel se chargeais de nuage, et une pluie intense se mettait à tomber, il n'y prêtais pas attention lui, mais moi ça me troublais, vraiment beaucoup.
C'est d'ailleurs un jour ou il décida de me satisfaire qu'il signa son arrête de mort ... Je ne sais pas vraiment aujourd'hui qui l'a tué, c'est peut-être bien moi.
Il avait laissé la fenêtre ouverte, et il commença à se déshabiller. Ensuite comme d’habitude il se mit à pleuvoir. l'eau passait par la porte, et mouillait légèrement le matelas déjà gorgé de sueur et de sperme. quand il eu finit ses affaires, je quitta la pièce, et je m'enferma dans la salle de bain pour pleurer en silence. Mais un hurlent me glaça le dos. Je me rendit dans la pièce ou il c'est endormis, et le matelas était rouge, et lui était ... éparpillé. Entre les membre du corps de mon professeur, aperçue une silhouette, celle d'un créature fait d'eau et de glace, exactement comme je l'avais dessiné pour le cours d'art plastique ... Devant ce spectacle immonde, je ne pus même pas pleurer, il avait ce qu'il mérite, même si j’étais seul, j'étais en vie. La créature quitta les lieux, en fondant et en se faisans absorbé par le sol, je lui souris, je la connaissant, j'en avait rêvé, qui était-elle ? Je ne sais pas. Comment savait elle ? Je ne sais pas. Mais elle m'avait libéré. Et plus jamais je n'ai été seul, car je sais qu'elle veille sur moi, ou du moins je l'espère.
Quand la police arriva, ils ont rapidement compris la situation pourtant je ne fus pas accusé de son meurtre, son voisin lui par contre en à pris pour plusieurs années, Homicide volontaire avec préméditation avec comme circonstance atténuante étant donné qu'il aurai voulu me sauver. Je ne sais pas ce qu'est devenu cette homme, mais il était fier d'aller en prison pour le meurtre d'un homme comme celui que j'ai aimé, ça ne m'a pas attristé, pas le moins du monde.
Maintenant, je suis dans le trains pour rejoindre l’académie qui à mentionné sur la lettre qu'ils pourraient m'aider à comprendre qui je suis, en effet, je n'étais pas quelqu'un de normal. Je ne sais pas pourquoi je pense à tout ça maintenant, c'est le passé, enfin un passé duquel découle le présent, maintenant, je ne pourrai pas être aussi con que je l'ai été.
• HORS RP
Comment avez-vous connu le forum ? Longue histoire.
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Validé!
Dernière édition par G. Dylan le Lun 19 Déc - 15:32, édité 4 fois | |
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