Une séance au théâtre.. [Misao+Kohaku..]

-non je n'ai pas revue le mec. Je vais très bien ne t'inquiète. C'est juste qu'il m' ait arrivé un truc bizarre en revenant et j'ai toujours pas d'expliquer. Mais ne t'inquiète pas tout est revenu à la normal. J'étais juste entrain d'espérer que ca le restera.

Quand elle me répondit ça, elle semblait soucieuse. Je n'insistais pas.
Les lumières ne s’atteignaient pas encore, l’entracte n'était pas finis.
J'observé les personnes en bas. Tout compte fait, on était haut dans cette loge.. On pouvais apercevoir les auditeurs de cette pièce qui se trouvaient de l'autre côté de la salle trés facilement. C'est drôle, j'avais une impression bizarre.. Comme fusionnée entre de l'embarra du danger et de l'inquiétude.. Comme si il y avait quelque chose de néfaste qui allait se passer.. d'alarmant.
Puis, aussi lentement et doucement que quand elles s'étaient allumées, les lumières du théâtre s'éteigniéres. Dans le noir complet, on pu voir réapparaître sur le scène les comédiens.

Alors que Misao se décida pour se calmer un peu car peut être qu'elle paniquait absolument pour rien, une impression bizarre naquit en elle. Au début, elle savait trop se que c'était puis elle compris. L'impression de danger. L'ange se sentait en danger mais elle était incapable de dire pourquoi. Elle s'approcha du bord et regarda les spectateurs dans le noir. Le danger venait-il de là. La jeune fille jetta un coup d'oeil de coté et vit, malgré l'obscurité, que Kohaku avait aussi l'air étrange. Avait-il ressentit la même chose qu'elle. Si tous les deux ressentaient se danger cela voulait dire qu'il saura d'ordre magique? Elle se rassit comme il fallait dans son siège. Fallait attendre. Misao ne pouvait rien faire avec juste une impression. Par contre si le danger arrivait vraiment, elle était prête à se battre. Son pentacle brilla légèrement pret au combat. Heureusement avec son gant, on devait pas vraiment voir la Lumière. Son cœur battait à tout rompre dans la loge. Elle avait peur car le danger pouvait arriver de n'importe où. L'ange n'aimait vraiment pas se sentiment. Elle avait ressenti le même lorsque le démon l'avait attaqué et que sa sœur l'avait protégée au péril de sa vie.

Dans le noir j'entendis ma jeune amie se tortiller sur son fauteuil, elle gigoter tel que elle me parut anxieuse. Je tourna la tête pour mieux la regarder, j'aperçu son soutiens-gorge. Oh non... Je sentis comme une pierre s'affaler dans mon estomac ! Comme si une double personnalité s'emparait de moi. J'eu une brusque envie de lui lever la robe, et d'arracher avec les dents ses dessous. D'enlever violemment mon pantalon, et de...!

- Merde..., dis-je tout doucement.
Je bandais.

Pur et dur.

Soudain j'entendu un coup de feu. Il provenait de la scène. Je n'arrivais pas à distinguer si cela venait du spectacle ou bien si s'était réel. Un cris, puis encore un.. la troupe des voix à l'unissons dans un brouhaha se faisait maintenant entendre. Des gens courraient dans tous les sens. La peur régnait dans la salle. Pourtant je ne bougeait pas, je regarda mon pantalon, toujours aussi dur.. Mais je vis du sang couler, et je ne trouvai plus ça drôle du tout. j'essayai de trouver sa main mais aucune trace...

Misao continuait de gigotter sur son siège quand Un coup de feu retentit. La jeune fille se leva d'un coup pour voir si cela faisait partie de la pièce mais elle etaot sur que non. La jeune fille de tourna vers Kohaku pour lui demander quoi faire quand elle remarqua qu'il fixait son pantalon. Elle comprit pas toute suite pourquoi car depuis sa place ça se voyait pas vraiment. Quand finalement elle comprit, elle rougit viollement. Seulement pas la temps de s'étendre sur le faite que le mec bandait. Elle vit une personne blesser et sut qu'il fallait intervenir. L'ange sauta depuis le balcon en déployant ses ailes. Personne ne la remarqua à cause de l'agitation dans la salle. Quatre type les menaçait, elle les prit pas surprise et réussit à les desarmer. Seulement elle s'était trompée, ils étaient pas quatres mais cinq. Elle le comprit au moment où elle sentit le flingue dans son dos. La demoiselle s'en voulut d'avoir foncer tête baisser ainsi. Le mec vint devans elle pendant que les autres reprennaient leur arme avec un sourire perver.

-voilà une demoiselle forte courageuse. Les gas nous avont de la chance, nous sommes tombées sur du magnifique gibier. Voyons si en dessous de cette robe, c'est aussi magnifique.

Misao recula de deux pas terrifier. Elle oensa très fort "aidez-moi".

J'ai été surpris quand elle se leva brusquement pour déployer ses ailes et s'envoler à la rescousse d'une jeune fille encerclée par une bande d'homme armés, affichant un sourire plutôt malsain. Elle ne s'était pas aperçue qu'ils étaient aussi nombreux, et je vis à son regard qu'elle réclamée de l'aide. Je dévala les escaliers, faute de ne pas savoir voler, et donna un coup de point magistral à un des mec, puis dans la foulée, me retourna devant un autre pour lui mettre violemment un coup de tête sur la sienne, se qui l’assomma. Je me tourna vers Misao pour lui demander si tout allait bien.
Je m'était tourné vers elle quand je senti un coup sec sur mon crane.
Le temps de me remettre cette attaque, je voulu rétorquer mais là, une douleur, qui m'était inconnu jusqu'à présent, se logea dans ma cuisse gauche.
Je m'affala au sol et vue partir les agresseurs.

Misao etait terrifiée mais à ce moment-là, Kohaku vint la sauver. Seulement il se chopa un coup sur la tête et una balle dans la jambe. L'ange s'ennerva en voyant son ami blessé. Son pentacle mît à briller sous son gant et une aura menaçante entoura la jeune fille. Les hommes prirent la fuite sans demander leur reste. Elle se précipita vers son ami super inquiète.

-tu as été touché par une balle. Faut que je te l'enleve. Je sais tu dois te dire que tu préférais un médecin mais je sais y faire. Et tu ne sentiras rien. J'aurai même pas besoin de te faire quoi que se soit. Il suffit que j'utilise se que contient cette fiole et de la concentration. C'est de ma faute si tu as été touché. Parce que j'ai fait l'idiote. Après que je t'ai retiré la balle, faudra qu'on parle de se qui t'es arrivé dans la loge.

En parlant, elle montra la fiole d'une couleur rouge, brun et rougit à ses dernières paroles. Pas facile d'aborder le sujet. Mais d'un côté, elle était contente de savoir qu'elle avait fait cet effet là à Kohaku. Sans attendre une minute, elle versa le contenu de la fiole dans la plaie et se concentra. Normalement, elle devrais arriver à faire sortir la balle à travers la peau. Les anges savaient le faire sans le contenu de la fiole mais n'était pas comme les autres. Misao faisait ça aussi car elle aimait pas vraiment les hôpitaux. La balle traversa doucement la peau et vint dans sa main. Elle appliqua un baume special pour que la peau se referme et posa un bandage.

-voilà c'est fait. On devrais y aller avant que la police n'arrive.

Elle m'expliqua comment elle allait procéder pour retirer la balle, et se concentra. Je pensé à ce qu'elle venait de me dire, à ce qu'il m'était arriver dans la loge. Puis on partie avant que la police n'arrive. on marcha un peu sans direction précise. Après un court moment, on pu entendre les sirennes des pompiers ainsi que celle de la police. Toujours dans le silence, nous marchâmes côte à côtes mais soudain, une douleur fulgurante me pris à la cuisse gauche. Je partie m’asseoir dans un coin de rue. Je faisais des petits gémissement. J'eu presque honte, on aurait dit que je jouissais.Puis, je la regarda dans les yeux.
Je faisais des petits mouvements de vas et viens avec mes mains sur la cuisse, je la frictionnais.

- J'ai mal... dis-je d'un ton plaintif..
Je ne parvenais pas malgré moi, à me masser la cuisse seul...

Misao tenait Kohaku par le bras pour l'aider à marcher car il devait avoir un peu mal. Elle en fut certaine quand il partie s'assoir pour frictionner sa jambe. Elle savait pas si il lui restait quelque chose contre la douleur. Elle fouilla un peu dans son sac et finit par trouver se qu'elle cherchait mais c'était la dernière fiole. Elle devra aller faire la plein. La jeune fille la tendit à son ami et lui enleva les mains de la cuisine. Fallait pas qu'il touche à cause de la douleur.

- évite de masser ou toucher ta jambe s'il te plait, comme tu as pu le voir je n'ai pas refermer ta plaie alors elle peux recommencer à saigner facilement. Boit la fiole, elle devrait faire diminuer la douleur. Je peux pas la
faire disparaitre car je n'ai pas se qu'il me faut. Il aurait fallu que je retourne aux paradis pour avoir les bonnes plantes, celles sur terre sont moins efficaces. Je suis encore vraiment désolée. J'ai agis sans réfléchir et tu as été
blessé. Quand le mec t'a tiré dessus j'ai eu si peur qu'il te tue.



Les larmes coulaient sur ses joues. Elle se serra contre Kohaku en passant ses bras autour de son cou.

Elle me recommanda de ne pas toucher ma jambe, ce que j'exécutai aussitôt.
Elle me donna une fiole pour calmer la douleur, je ne la bu pas entiérement car le mal commencé à se dissiper.
Quand elle finis de parler, je regardais encore la fiole, mais je relevis la tête et la vu pleurer.
Je ne savais quoi faire, cela n'était pas grave, j'avais couru à sa rescousse par ma propre volonté, cela n'était pas de sa faute si on m'avait tiré dessus.
Elle avait l'air d'être se genre de personne qui se remet en question lorsqu'il arrive maleur à quelqu'un ou quelque chose. Je voulais la réconforter, lui dire que ce n'était pas grave, que ce n'était pas de sa faute mais j'avais la sensation que ceela n'allais rien arranger.
Je me levai d'un coup et s'approcha d'elle.
Je ne savais occunement se que je faisais.
Soudain je la pris dans mes bras -sans arriére penser!- et elle fut aussi surprise que moi.

Misao continuait de pleurer en se remettant toute la faite sur elle. C'était totalement de sa faute si son ami avait reçu cette balle et rien ne lui enlevera cette culpabilité. Soudain, elle sentit Kohaku la serra contre lui. Elle fut surprise un premier temps puis elle éclata vraiment en sanglot. La jeune fille vida toutes les larmes de son corps contre son ami. Elle ne supportait pas de voir les gens qu'elle aimait blesser à cause de sa bêtise. Agir sans
réfléchir. Après un moment, ses pleures diminuèrent puis cessèrent doucement. Elle se détacha un peu de Kohaku et le fixa dans les yeux. Il était vraiment gentil. Il l'avait consolé. Il n'avait pas cherché des mots inutils. La jeune fille murmura doucement:

-je suis désolée.

Et l'ange l'embrassa. Elle s'excusait autant du baiser que pour la blessure. Elle savait pas trop pourquoi elle l'embrassait. C'était venu sans réfléchir comme si on l'avait poussé à la faire. Bon c'était pas vraiment désagréable
non plus.

Elle ne me repoussa pas.
Nous restâmes un long moment dans ce coin de rue, elle contre moi. Elle pleurait.
Elle pleurait comme si tout le malheur du monde était sur ses épaules.
Je restait silencieux, ne pouvant rien dire. Se n'était pas de sa faute, cette blessure et pourtant même si je lui dirait, elle ne se sentirait pas moins triste.
Là, elle sanglotait encors mais releva la tête.
Elle me donna un baiser. Je perçu ça comme une sorte de remerciment pour l'avoir 'consolée'.
D'abord, pris de surprise, je restais sans rien dire, puis lui adressa un sourire.

Elle avait les joux une pointe rougit par l'acte qu'elle avait fait.
Je trouvais sa mignon. Nous commancâmes à marcher toujours dans la direction opposée au théâtre. Aprés un laps temps que je ne pouvais définir étant plonger dans mes pensées, je lui demandais si elle avait une idée d'ou allait.
Cela devait bien faire 2heures que nous étions partis du hall du théâtre.

Misao l'aidait à marcher. Chacuns étaient plongés dans ses pensées alors personne ne fit attention au chemin qu'ils prennaient ni au temps qui passait. Elle sortit de ses propres pensées quand Kohaku lui demanda si elle savait où aller. Ne connaissant pas du tout le coin, elle ne savait pas où aller et encore moin où ils étaient. Elle n'avait pas du tout fait attention au parcours qu'ils avaient fait pendant ses deux heures de marche.

-fait chier la nuit et tombé. Je crois qu'on a prit le chemin inverse de l'academie. Il est trop tard pour faire demi tour et dans ton état, tu devrais pas marcher autant. Y a un hôtel juste en face, on a qu'a prendre une chambre. Enfin y.. Y a aucune allusion la dessous enfin... C'est pas comme si j'y pensais pas.. Mais...

L'ange finit pas s'embrouiller alors elle préféra se taire.

Je rigolais intérieurement suite à la tournure qu'avait pris sa phrase, ou plutôt à se qu'elle ne voulait pas dire.. L’hôtel ? Il était si tard que ça ? Je ne me sentais pas fatigué du tout. Mais peut-être, elle si.. Une fois de plus, je songeais à mon sommeil. Je ne dors que très peu. Après quelques pas de plus je répondis:

-Non mais je n'est plus trop mal, ça va, je crois que pourrais encore marcher un moment.. Après pour la nuit, je ne sais pas... As tu une idée de l'heure ?

Un vent léger soufflait. Doux, apaisant et léger.
Il soufflait dans les cheveux de Misao. D'ailleurs, on pouvait entendre un bruit lointain de vent dans les feuilles d'arbres. Cela me fis presque penser à des vagues, le soir, le vent et la marée se confondent.

Misao était déçu que Kohaku soit pas fatigué. Car en vrai c'était elle qui était fatiguée. Elle n'avait pas beaucoup dormit ses derniers jours et soigné son ami lui avait prit plus d'énergie que d'habitude. En plus, elle n'avait jamais été bonne pour courir sur des longues distances. Seulement, elle pouvait pas le dire à Kohaku. Elle paraitrait ridicule d'être fatiguer alors que lui blesser ne l'était pas. Elle regarda sa montre pour voir l'heure dessus.

-il est minuit et quart. Je pense que avant 5h on est pas au pensionnat. Si on se plante pas de chemin bien évidemment. Mais bon tu dois savoir où nous sommes toi donc tu peux nous guider jusqu'au pensionnat.

La torture allait commencé. Elle ne tiendra jamais jusqu'au pensionnat. Mais elle se tut et fixa son ami en attendant qu'il indique le chemin. Elle se tourna vers un arbre en entendant les feuilles danser avec le vent. Cette brise était vraiment agréable à sentir. Misao aimait bien le bruit des feuilles. C'était comme une petite berceuse pour elle. Mince fallait pas penser à ça. Elle devait tenir bon.

-il est minuit et quart. Je pense que avant 5h on est pas au pensionnat. Si on se plante pas de chemin bien évidemment. Mais bon tu dois savoir où nous sommes toi donc tu peux nous guider jusqu'au pensionnat.

Elle avait l'air un peu ailleurs.
Après quelques pas, je trouvais que l'on relentisés la marche et qu'elle paraissait un peu plus fatiguée à chaque mètre. Nous étions justement prés d'un hôtel, je la regarda et finis par dire:

-Viens, on va rester ici cette nuit. Tu as l'air fatiguée, est-ce le fait d'avoir utilisé tes pouvoirs ? Je suis désolé.. dis-je d'un petit air, D'ailleurs, quels sont tes pouvoirs ?

Je ne sais plus si elle me l'avait dis, à vrai dire, depuis l'épisode dans la salle de théâtre, je ne me souvient plus trop de se qu'on avait fais avant.. Parfois cela m'arrivais.. C'est bizarre mais je n'y fis pas attention.

Misao suivit Kohaku en marchant derrière lui et gardant le rythme mais après un moment elle ralentit. Elle n'aurait jamais du soigner son ami. Ses pouvoirs étaient maléfique alors utiliser un sort angélique lui prennait beaucoup d'énergie. Plus la blessure était grande plus s'était dur pour elle. Alors une balle était un sacré défis. Soudain le jeune homme s'arreta en lui montrant l'hotel.

-viens, on va rester ici cette nuit. Tu as l'air fatiguée, est-ce le faite d'avoir utiliser tes pouvoirs? Je suis désolé... D'ailleur quels sont tes pouvoirs?

L'ange ne répondit pas et se dirigea vers la réception pour prendre deux chambres. La jeune femme lui
expliqua qu'il en restait plus qu'une. Misao était trop fatiguée pour en faire cas. Elle prit la clef et se dirigea vers l'ascenseur. Une fois dedans, elle prit la parole.

-je suis fatiguée à cause du faite de t'avoir soigner mais je te dirai pas pourquoi ni quels sont mes pouvoirs. C'est mon secret.

[désolé ! Je n'avais pas vu que tu avais répondue !! T_T]

Dans l'ascenseur, elle me fis comprendre qu'elle était fatiguée à cause de l’énergie qu'elle avait utilisée pour guérir ma blessure mais ne voulut pas me révéler la vrai nature de son pouvoir.
Après tout s'était sa décision et je n'insista pas.
Un silence s’installa.
Pas le genre de silence gênant que l'on a en présence d'une personne que l'on connait à peine, que l'on ne connait pas bien... Pourtant on était dans se cas là, on ne se connaissait que depuis le début de cette après-midi.
Non.. Un silence qui ne gêne pas. Un silence qui reflète le fait que l'on s'entende bien avec la personne avec qui l'on ai. Mais aussi un silence de fatigue.
Quand nous arrivâmes devant la porte, elle fis entrer la clé dedans et après un tour, nous découvrîmes une vaste pièce dont se trouvait un assez grand lit.
Je ne voulais pas la gêner, alors je lui proposa de prendre le lit tandis que je dormirai sur le divan en face de ce dernier.
En fait je ne compter pas dormir. Dès qu'elle eu tomber dans un sommeil profond, je voulais attendre le matin dehors.
A vrai dire, j'aime la nuit plus qu'autre chose.

Misao fixa Kohaku. Elle voulait pas le laisser dormir sur le canapé. Seulement elle pouvait pas se battre contre lui maintenant. Elle était trop épuisée. Elle se laissa tomber sur le lit. Au moment où sa tête se posa sur l'oreiller, la jeune fille s'endormit toute suite. Elle avait vraiment exagéré sur se pouvoir. La fièvre monta doucement à son front. La jeune fille s'enroula dans la couverture. Et voilà elle payait pour avoir utiliser les remèdes angélique aussi fort alors qu'elle n'avait aucun pouvoir angélique. Mais elle ne s'en voulait pas vu que c'était pour aider Kohaku. La chaleur augmentait mais elle avait froid. Elle en pouvait plus. Elle se leva doucement pour aller chercher de l'eau. Le trajet jusqu'à la salle de bain fut horrible pour elle. Comme un marathon. Elle l'atteignit enfin. Elle but un peu d'eau et mît sa tête sous l'eau. Ensuite retour au lit avec difficulté.

Quant elle s'affala sur le lit, il ne lui fallu pas moins de quelques minutes pour s'endormir.
Je la vu bouger, s'enrouler dans la couverture. Cette attitude me faisais panser à un petit loir, et cette penser me fis rire doucement.. discrètement.
Elle s'était endormis, mais la soif la réveilla. Effectivement, elle alla dans la salle de bain de l’hôtel pour revenir désaltérée avec les cheveux mouillés, péniblement d'ailleurs.
Elle se rendormi dans un sommeil profond en oubliant de remettre sa couverture.
Je m'approcha d'elle pour remettre sa couverture correctement...
Mais là, un vertige me pris et je tomba sur le -grand- lit.
Ce vertige, me fis tellement tourner la tête que je resta un moment allongé non loin de Misao.

Misao sentit un frisson de doit la parcourir. Elle voulut se cacher sous les couvertures mais elle n'arrivait pas à Les retrouver. Elle ouvrit doucement les yeux et se redressa. Elle vit Kohaku allonger sur ses couvertures. Mais la jeune fille sentit qu'il s'était pas simplement endormi, il avait l'air mal en point. Elle se leva et le poussa sur le lit avec
beaucoup de difficulté vu qu'elle-même n'était pas bien. Son ami devait enfin ressentir le choc du à sa blessure. Elle contrôla celle-ci qui guérissait assez vite. Elle se coucha à coter de Kohaku et poussa les couvertures sur les deux. Son geste ne voulait rien dire. L'ange se voyait mal dormir sur la canapé dans son état et ellle pouvait pas laisser son ami dessus non plus et encore moins par terre. Elle surveilla un bon moment son ami pour être sur que son état restera stable puis se rendormit à cause de la fièvre qui continuait de grimper gentillement. Ils avait l'air malins tous les deux maintenant.

Temporairement évanoui, Je ne rouvris les yeux qu'après, selon moi que quelques secondes, mais d'après la montre, plusieurs heures.
Je vis Misao mais sans vraiment la voir, comme après un long sommeil ou l'on se réveille doucement. Puis, en remarquant sa présence, je compris que j'étais sur le lit.
Elle avait l'air malade.. Fiévreuse. Contrairement à elle, je me sentais au mieux de ma forme. Normal.. Enfin je crois.
Je me levai silencieusement et pris une autre couverture située dans le placard pour la mettre sur mon amie. Je l'observa un petit moment depuis le canapé puis descendis le plus discrètement possible. Quelle heure était-il ?
L'aurore allait faire bientôt sont apparition. Je me mis à la recherche d'une pharmacie, et par chance j'en eu trouvais une ouverte si trad.. Plutôt si tôt se jour.
En ressortant de cette dernière avec de l'aspégique et du doliprane, je me dirigea vers l'hotel ou nous nous étions installés.
Attendant le matin, je m'assis sur un banc.

Les évènements de la soirée dernière l'avait bien remuée, et j'espérais ne pas trop lui causer de soucis. Plus de tort que j'en eu fais.
Je laissa vagabonder mes penser de ça, de là tout en admirant les premiers rayons de soleils. Magnifique.
Moi, je préféré le crépuscule mais, l'aube avait toujours son petit effet.
Après méditations, je songea à remonter dans la chambre.

Misao dormit d'un sommeil profond. Mais cela lui faisait un bien fou. Ses forces revenaient peu à peu mais sa fièvre ne voulait pas partir même si elle descendit un peu. Elle remarqua que Kohaku était plus à coter d'elle. Elle espera qu'il se sentait mieux. Elle vit aussi une deuxième couverture sur elle alors elle sourit devans la gentilesse de son ami. La jeune fille se leva doucement et regarda qu'il ne se trouvait pas évanoui dans une des pièces.
Aucun signe de lui. Elle décida de prendre une douche. A cause de la fièvre, elle avait transpiré. La demoiselle sortit des vêtements propres de son sac. Heureusement qu'elle prennait toujours des vetements dans son sac. Elle rentra sous la douche et laissa l'eau couler sur son corps. Ça faisait du bien d'être propre et l'eau sortait son esprit de la brume dans laquelle il était plongé. Après un moment, elle finit par sortir et se sécha bien pour pas reellement tomber malade. Misao enfila ses sous-vetements, son Jean et un t-shirt. Le soleil était déjà levé car l'ange voyait ses rayons par la fenêtre. Elle s'assit sur la canapé en attendant que Kohaku revienne... En espérant qu'il revienne
surtout.

Dans le calme de l’immeuble, je remontais.
Je me sentais pas à ma place dehors.
Comme si le matin attendais quelqu'un, mais pas moi.
Comme si il se levait spécialement pour quelqu'un ou quelque chose.
Dans ce matin surpris de me voir, je marchais bruyament par rapport au calme m'entourant.
Du bruit.
Je faisait beaucoup de bruit.
Je voulais enlever mes chaussures dans le but de moins en faire.

Quand je suis rentrer dans la chambre, le plus silencieusement possible, je la vis sur le canapé.
Elle m'attendait ?
Mon visage devint légèrement rouge contre ma volonté, l'avais-je réveillée en sortant ?
...
Je le regarda attentivement.
Elle avait meilleure mine.

-Bonjour, dis-je doucement, Tu vas mieux ?
Je luis tendis les médicaments fraichement achetés et continua:
C'est pour ta fièvre.

Si j'avais su qu'elle était réveillée je serais remonté plus tôt et aurais acheté des viennoiseries. D'ailleurs, c'est se que je lui proposa.

Misao sursauta en entendant la porte s'ouvrir. Elle était tellement perdue dans ses pensées qu'elle n'avait pas entendu le bruit. Elle était vraiment heureuse qu'il soit revenu. Sa peur n'était pas fondé. Quand Kohaku lui tendit le paquet, elle regarda dedans et vit un médicament contre la fièvre. Un énorme sourire s'afficha sur ses lèvres. Elle prit le medicament et vint donner un baiser sur la joue de son ami.

-merci d'avoir penser à aller acheter un medicament contre la fièvre. Je vais mieux, il me fallait surtout du repos. Tu es vraiment très gentille d'avoir penser à moi. Mais toi tu vas bien? Tu avais l'air mal hier soir. Je suis désolée comme tu étais mal je t'ai fait dormir sur le lit avec moi. Je pensais que tu serais mieux sur le lit que sur le canapé. Et pour les vinoisseries si tu veux c'est moi qui vais les acheter. Tu en as déjà tellement fait pour moi.

L'ange se rassit sur le canapé en attendant la réponse de celui-ci. Elle avait toujours un petit sourire sur les lèvres.

[okey, désolé ! J'ai pas eu le temps avant -.-']

Après sa réponse elle se rassit sur le canapé. Malgré le fait qu'elle ai meilleur mine, elle avait l'air encore un peu affaiblie.
Je lui proposai par la suite de rester là tandis que moi, j'allais les acheter.
Mais après avoir réfléchis, je ne savais pas si la laisser seule une nouvelle fois était une bonne idée. Oui, car je ne savais pas depuis quand elle était debout...
Tout compte fait, je lui demandais ce qu'elle voulait faire,
Rester encore ici, pour se reposer avant de repartir pour l'école ou m'accompagner ?

J'attendis sa réponse en lui apportant un verre d'eau pour diluer les différents médicaments.

(Merci au correcteur qui m'a fait part des erreurs que j'ai commis ainsi que d'avoir pris le temps de les corriger.)